Des grognes de prisonniers au Burundi s’intensifient au fil du temps. Trouver la nourriture dans la prison est une chance. Certains prisonniers optent pour se taire afin de survivre.
Le gouvernement se désengage ces derniers jours dans l’alimentation saine des prisonniers selon les sources du journal Itara Burundi; 350 g de farine et 350 g de haricots cuits, tel est une recette d’un homme/femme/jeune emprisonné dans une prison centrale du Burundi après le désengagement du CIRCR dans l’alimentation des prisonniers. Une décision qui serait liée au refus du gouvernement de désengorger les prisons en libérant les prisonniers d’opinions.
Selon toujours les sources du journal Itara Burundi, le gouvernement n’approvisionne plus du sel, de l’huile, du charbon et du bois de chauffage comme d’habitude au prisonniers. Les uns deviennent de plus en plus des immoraux, déviants sociaux et psychopathes à cause de la situation précaire dont vit le prisonnier selon toujours nos sources.
Les prisonniers commencent à penser que c’est une manière de les tuer par privation de la nourriture et demandent au gouvernement ainsi qu’aux bienfaiteurs de leur venir en aide avant qu’il ne soit tard.