Le Conseil des droits de l’homme des Nations Unies a décidé de prolonger d’un an le mandat du Rapporteur spécial sur le Burundi. Cette décision intervient alors que les violations des droits humains, telles que les disparitions forcées, la torture et les détentions arbitraires, persistent dans le pays.
Les organisations de défense des droits de l’homme, comme ACAT-Burundi, appellent la communauté internationale à rester vigilante et à continuer de mettre la pression sur les autorités burundaises afin de :
- Protéger l’espace civique : garantir la liberté d’expression, de réunion et d’association.
- Organiser des élections inclusives en 2025 : permettre à tous les Burundais de participer librement au processus démocratique.
Le renouvellement du mandat du Rapporteur spécial témoigne de la gravité de la situation au Burundi. Il est essentiel de maintenir la pression internationale pour contraindre le gouvernement à respecter les droits de sa population.