La directrice de la prison de Gitega est accusée d’user de son pouvoir pour réprimer l’homosexualité avec partialité. Certains prisonniers ont vu leurs peines majoré le mois passé tandique d’autres useraient de la corruption pour que leurs dossiers restent intacts.
Après la publication du journal Itara Burundi alertant sur deux des prisonniers homosexuels qui ont été batus à mort en juin dernier, Josiane, la directrice de la prison centrale de Gitega aurait pris les choses en mains pour gérer des cas nouveaux ;
Un certain Alexis Ntaconzoba est l’un des deux prisonniers mis en correction vendredi le 12 novembre 2021 pour être libérés le lendemain après avoir versé un rançon aux chefs des prisonniers, une somme qui serait d’un million de francs burundais (1000 000FBu) tandis que Cedrick et Claude ont vu leurs peines majorées de 2 ans 6 mois avec exclusions de leurs chambres pour être loger dans un terrain de ladite prison parce qu’ils n’ont rien payé, tous pour commettre ce crime « Homosexualité »
L’homosexualité est un secret de polichinelle au Burundi surtout dans les prisons qui sont d’ailleurs accusées d’être à l’origine de ce crime abominable au Burundi.